
1. LA TECHNOLOGIE D’AUTHENTIFICATION BIOMÉTRIQUE JOUIT D’UNE BONNE RÉPUTATION
Partout dans le monde, les gens sont très majoritairement favorables aux technologies d’authentification biométrique, 74 % des sondés les accueillant positivement ou très positivement. Qu’est-ce qui les séduit ? Un identifiant unique, la prévention de la fraude et la facilité d’utilisation arrivent en tête de liste.
2. LE MONDE EST PRÊT
Dans le monde, un pourcentage écrasant de 90 % des personnes interrogées se dit prêt à utiliser des procédés d’identification biométrique. La majorité, soit 61 % d’entre eux, utiliserait la biométrie pour déverrouiller leur téléphone, tandis que d’autres l’envisageraient pour payer en magasin et en ligne.
3. L’ASPECT TECHNIQUE/NON HUMAIN DE LA BIOMÉTRIE N’EST PAS UN FREIN
Étonnamment, l’aspect technique de la biométrie et le manque de contact humain qu’on y associe souvent n’ont suscité que très peu de réticences parmi les personnes sondées. Dans le même temps, les répondants craignent le vol d’identité, la fraude et d’autres risques liés à la protection de la vie privée.
4. LA TECHNOLOGIE BIOMÉTRIQUE EST DÉJÀ ENTRÉE DANS LES MŒURS
La plupart des personnes interrogées (78%) se sont déjà familiarisées avec l’authentification biométrique, à savoir la vérification des empreintes digitales (63%). Dans notre monde hautement technologique, seulement 22 % des personnes interrogées ne l’ont jamais essayé.
5. LA VÉRIFICATION D’EMPREINTES BÂT DES RECORDS DE POPULARITÉ
Les empreintes digitales sont considérées non seulement comme la forme la plus sûre et la plus précise de biométrie, mais aussi comme la plus pratique. En termes de précision et de sécurité, la reconnaissance de l’iris suit de près, tandis que la reconnaissance faciale se classe au second rang pour sa facilité d’usage.
6. LE BRÉSIL ET LES E.A.U. SONT LES PAYS LES PLUS RÉCEPTIFS
Les Brésiliens ont une opinion très positive au sujet des technologies biométriques. Dans les faits, 89 % l’ont essayé, principalement parce que l’utilisation des empreintes digitales est nécessaire pour voter aux élections nationales. Les E.A.U. arrivent en deuxième position et apprécient à 81% l’authentification biométrique, particulièrement pour son aspect innovant et ludique. Ils sont les moins méfiants à l’égard de la fraude, du vol de données ou d’identité.
7. LES FRANÇAIS SONT TOUJOURS MÉFIANTS CONCERNANT LEUR IDENTITÉ BIOMÉTRIQUE
Si la majorité (61%) des Français interrogés ont une attitude positive à l’égard des technologies biométriques, leur appréciation reste en dessous de la moyenne mondiale (74%). Cela explique peut-être pourquoi ils sont aussi ceux qui ont le moins essayé le portefeuille mobile.
8. LA BIOMÉTRIE RAFFLE LA MISE DANS LE SECTEUR BANCAIRE
Dans le secteur bancaire, 82 % des personnes interrogées souhaitent remplacer leur code PIN par leur empreinte, même si 87 % préfèreraient toujours le conserver comme solution de secours.
9. LES GENS VEULENT GARDER À L’ŒIL LEURS DONNÉES BIOMÉTRIQUES
Les sondés sont divisés sur la façon d’enregistrer leurs empreintes digitales dans une carte de paiement, mais la plupart d’entre eux préféreraient le faire eux-mêmes via leur application bancaire (42 %) ou avec l’aide d’un employé de banque en agence (67 %). Une grande majorité d’entre eux préféreraient les conserver dans la puce de leur carte (40 %) plutôt que de voir stocker ces informations dans le cloud (11 %).
10. LES PORTEFEUILLE MOBILES BIOMÉTRIQUES NE REMPORTENT PAS ENCORE L’ADHÉSION À TRAVERS LE MONDE
43 % des personnes interrogées utilisent déjà leurs données biométriques pour payer avec leur téléphone portable. On note cependant un énorme fossé entre les différentes zones géographiques : 86 % d’adoption en Inde contre seulement 11 % en France.
BONUS : IDEMIA MONTRE DÉJÀ LA VOIE
IDEMIA est un véritable pionnier de la biométrie, avec F.CODE (une carte de paiement qui remplace votre code PIN par votre empreinte) mais aussi avec des programmes révolutionnaires, dont l’ambitieux Aadhaar en Inde (attribuant un numéro d’identification unique à chacun des 1,3 milliard de citoyens du pays) et le Terminal 4 de l’aéroport Changi de Singapour (où les passagers peuvent se rendre en moins de 10 minutes de l’entrée du terminal à la porte d’embarquement en utilisant simplement leurs données biométriques).